Il y a quelques jour j'ai été voir dans ses yeux. J'avais pas forcement envie de tenter encore une expérience décevante mais plutôt d'aller au cinéma pour me détendre. Bon pas au point d'aller voir camping 2 non plus, faut pas pousser :)
 Malgré les critiques que j'avais vu sur Allociné je me suis décidé à aller voir ce film Argentin : Dans ses yeux.

Et finalement je n'ai pas été déçu, c'est indéniablement du beau cinéma. Je trouve que l'affiche n'est pas très vendeuse, ça fait un peu film à l'eau de rose non?

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En 2008 Apparaissait un (nouveau?) super héros sur les écrans de ciné. Nouveau, oui. Dans un sens car, même si ce dernier, comme tous les super héros, est divisé entre sa vie sentimentale, sociale et son immense désir de sauver l'humanité, il arrive à se détacher des autres adaptations par son orgueil, son narcissisme, sa classe et son humour.
Le premier volet, à la plastique impeccable, aux effets spéciaux efficaces, au scénario bien ficelé et au final très simpliste (on en demande pas plus à ce genre de film) nous offrait donc un renouveau aux personnages descendus par des Clooney clownesques ou des Affleck affligeants.
Hélas, tout ce qui fonctionnait parfaitement dans le premier volet semble avoir été perdu dans une suite étalant les acteurs du moments dans des rôles improbablement prévisibles, arborant des sourires pro américains et anti russes (ou le contraire) à la manière d'un Rocky IV (scènes d'ouvertures pratiquement identiques).
Alors qu'en est-il du deuxième ?

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Enter the Void est un film différent, provocant et expérimental. Je le savais avant d'y aller. Mais je n'y suis pas arrivé, j'ai failli sortir 5 fois et beaucoup dans la salle n'ont pas eu autant de patience.
Quand je suis finalement sorti de ce film, j'ai été intrigué. Pas choqué, pas ébloui juste interloqué par le message, le but... Et quand je regarde les critiques de cinéma qui crient soit au génie soit à la débilité profonde cela ne m'aide pas.
Noé est-il un génie incompris ou un névrosé psychotique qui met ses délires à l'écran?
Je n'ai pas la réponse, si vous le connaissez personnellement ou que vous avez vu le film donnez moi votre avis ça m'intéresse.

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Un nouveau Tim Burton... Nouveau... un bien grand mot. Le dictionnaire nous informe sur la définition du mot nouveau : "non existant, jamais vu auparavant" mais aussi comme quelque chose de "semblable, ressemblant, de conforme, qui succède à..." et c'est un peu ce qu'on peut penser de ce "nouveau" Tim Burton.

Il n'apporte rien de plus que ce qu'on avait déjà vu. Rien de plus que le magique film d'animation que les studios Walt Disney nous avaient déjà offert en 1951. Une suite. Une adaptation maladroite de l'œuvre de Lewis Carrol.

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Hier soir j'avais envie d'un film d'action. Du coup hop, j'en ai profité pour aller voir Green Zone. Un film de guerre avec Matt Damon je ne pouvais pas me tromper.
Et bien si. Green Zone n'est pas à proprement parler un film de guerre pur et dur, c'est plus un brulot contre le gouvernement Bush Jr. Alors evidemment ça se passe en Irak et donc il y a pas mal de scène de guerilla urbaines, mais le propos n'est pas là, vraiment pas.
Dans ce film Matt Damon est un capitaine de l'armée de terre US dépéché sur le terrrain pour sécuriser les sites d'armes de destructions massive. Mais au fur et à mesure de ses missions il se rend compte qu'il ne trouve rien, jamais.

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Quand je suis sorti du train hier quelqu'un m'attendait. Rien à voir avec le cinéma mais pourtant la première chose que cette personne m'a dit c'est : "Hier j'ai vu un film, Ajami, du grand cinéma" et elle a appuyer son propos par un smack entre ses doigts. Il en faut peu pour vous mener dans une salle de ciné, moi ce genre d'affirmation me suffit.

Le soir je me suis donc rendu dans le ciné arts & essai du coin pour me plonger dans Ajami, un quartier de Jaffa.
Et j'en suis ressorti séduit par ce film qui mêle les destins croisés d'un flic Israëlien, d'un sans papier Palestiniens et d'un jeune homme en plein conflit entre deux "gangs" rivaux.

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